L’augmentation mammaire par prothèses est une des interventions les plus réalisées en chirurgie plastique et esthétique. On utilise des prothèses rondes (les prothèses anatomiques étant interdites en France depuis quelques années), qui sont remplies de gel de silicone. La consistance au toucher est très naturelle. Les implants sont placés le plus souvent en arrière du muscle pectoral, ce qui permet de camoufler leur pôle supérieur (on utilise la technique du dual plane). La cicatrice, placée dans le sillon sous-mammaire, est extrêmement discrète. Le choix des dimensions de la prothèse doit être adapté au thorax de chaque patiente de manière à obtenir le résultat le plus harmonieux possible. Des essais sont réalisés en consultation afin de s’assurer que le volume choisi corresponde bien aux attentes et aux souhaits de la patiente. Le résultat définitif de l’augmentation mammaire s’apprécie au bout de 3 à 6 mois.
Cas N°1
Augmentation mammaire en dual plane par prothèses rondes de profil modéré pour un résultat naturel.
Cas N°2
Voici un résultat d’augmentation mammaire par prothèses au bout de 3 mois. L’aspect de la poitrine est très naturel grâce à l’utilisation de prothèses rondes avec un gel de silicone de dernière génération, et à la pose des prothèses en arrière du muscle pectoral en réalisant une technique « dual plane ». Le volume des implants a été déterminé à l’aide de mesures anatomiques précises, ainsi qu’à de nombreux essais réalisés en consultation. La cicatrice, dissimulée dans le sillon sous-mammaire, est quasiment invisible.
Cas N°3
Cette patiente souhaitait une augmentation mammaire modérée, pour un résultat très naturel. Des prothèses rondes de 205 cc ont été mises en place en arrière du muscle pectoral (en dual plane). La courte cicatrice sous-mammaire est quasiment invisible. Résultat à 4 mois.
Cas N°4
Augmentation mammaire par prothèses rondes, en dual plane, mises en place par voie périaréolaire (cicatrice autour de l’aréole) afin de remonter le sein droit qui était légèrement tombant. Résultat à 1 an.
Cas N°5
Cette patiente avait une aplasie mammaire, c’est-à-dire une absence de développement de la glande mammaire. Elle souhaitait un résultat très naturel. Des prothèses mammaires de 265 cc de volume et de profil modéré ont été posées en rétro-pectoral (en arrière du muscle grand pectoral), en dual plane, à l’aide d’une voie d’abord sous-mammaire : la cicatrice, très discrète, est dissimulée dans le sillon sous-mammaire.
Cas N°6
Augmentation mammaire en dual plane avec des prothèses rondes de profil modéré.
Cas N°7
Cette patiente présentait des seins vidés suite à ses multiples grossesses. Des prothèses rondes de 365 cc ont été mises en place (en position rétropectorale, dual plane de type III, voie sous-mammaire). L’étui cutané vidé a été bien rempli par l’implant, et le sillon sous-mammaire a été légèrement abaissé. Résultat à 3 mois.
